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 Logan Cox

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MessageSujet: Logan Cox   Logan Cox EmptyVen 18 Oct - 9:20

<blockquote>aaron taylor-johnson

caractère : C’est avec son enfance disparate et hétéroclite qu’il se forge un caractère parfois considéré comme dur. Mais il apprend à donner de sa personne pour se faire apprécier de tous, en jouant de ses yeux bleus et de son sourire charmeur. Il est déterminé, convaincu, il sait se battre pour ce qu’il croit profondément juste et quand il n’arrive pas à ses fins, il peut devenir très colérique, et impulsif. Il a besoin d’aller au bout des choses, comme si le livre devait se fermer pour arriver à une finalité, et c’est un grand problème pour Caleb qui se donne entièrement dans toutes ses relations, qu’elle soit amoureuse, familiale ou amicale. Il prend les choses tellement à coeur qu’il finit par ne plus savoir où il se trouve, dans un accès de rage qui finit généralement soit à l’hôpital, soit au commissariat, soit avec les mains en sang. C’est bien plus fort que lui et ça dépasse tout le contrôle qu’il essaie d’y mettre.

Parfois, Caleb a des moments de lucidité et il se rend compte que son comportement n’est pas celui à conserver pour maintenir sa vie à flot, sa famille compte sur lui et au-delà de ça, sa fille Jane compte sur lui, quoiqu’il arrive. Il se battrait contre vents et marées pour ses cheveux fins et son sourire si fin. Il avait aimé Roxanne, mais ce n’était rien comparé au jour où il avait rencontré sa fille. Parce que même si elle n’était pas de lui, ses tripes lui disaient le contraire. Alors il s’était découvert un côté papa poule, donnant son âme pour vivre parmi cette famille désordonnée mais à laquelle il tenait.  

histoire : Caleb, c’est le genre de garçon à prendre les choses bien trop à cœur. S’il pouvait donner son âme au Diable pour protéger les gens qu’il aime, il serait damné depuis bien longtemps. Et c’est très tôt, après la mort ravageuse de son père, quelques semaines après l’adoption officielle de son petit frère, qu’il s’était rendu compte qu’entre sa mère et sa fratrie, il se devait de garder la tête haute pour les porter sur ses épaules fragiles, à dix-sept ans. Il a su ramasser les morceaux de sa mère qui s’écroulait après le décès de l’amour de sa vie, tout gérant un gamin perdu, adopté, venant d’une famille qui le battait tous les jours durant. Caleb avait appris à cuisiner, à faire faire les devoirs aux plus jeunes, à travailler à côté pour aider financièrement sa mère, grâce aux codages et à ses qualités de designer FX, à étudier pour atteindre les écoles les plus intéressantes qu’il puisse obtenir et à gérer cette maison. Beaucoup de ses amis trouvait qu’il savait se diviser et que pour eux, ils ne sauraient pas gérer autant de chose, mais Caleb savait que ce n’était pas un choix, mais un devoir. Plus fort que lui, il ne dormait que très peu, passant son temps libre à regarder des films, lire des bouquins, s’instruisant le plus possible. Chaque chose en son temps, il savait que la roue allait tourner à un moment donné et qu’il pourrait souffler.

Caleb était connu comme étant le gars « cool », celui sur qui on peut compter, qui organise des soirées dans le lycée, à l’université, qui fait partie du bureau des élèves et qui aide les nouveaux à s’intégrer. Il est apprécié des hommes autant que des femmes, il sait obtenir ce qu’il veut en un clin d’œil littéralement. Mais en novembre 2015, c’est la claque. Dans tout le tourment de sa vie bien trop chargée, elle débarque, cette Roxanne avec son ventre qui pointe, elle lui fait tourner la tête à Caleb, et il en délaisse parfois sa famille. Il tente tant bien que mal de joindre les deux bouts mais ce qu’il ressent, c’est tellement cohérent, tellement puissant, tellement fort qu’il ne peut pas laisser passer la chance de sa vie. Parce qu’il va l’adopter, ce bébé, parce qu’il va l’épouser, cette femme. Il va tout faire pour la porter haut, la mettre à l’abri du besoin, il va l’aimer comme il n’a jamais aimé auparavant. Et cette fille, Jane. Elle n’a pas son regard, elle n’a pas son sourire, mais elle sait l’appeler papa, elle rit quand il prend de grosses voix pour faire les méchants dans les livres Disney qu’il a acheté par dizaine, elle caresse ses boucles doucement pour que le sommeil vienne à elle, ils créent un lien bien plus fort que les liens du sang, et Roxanne lui laisse la place de père, celle qu’il a voulu prendre. Ils s’aiment tellement, Roxanne et Caleb, bien trop passionné. Caleb tente malgré tout de continuer sur la même voie, sa mère, ses frères et sœurs, son boulot, l’université, sa fille, sa femme… Mais il est épuisé, il craque facilement, s’énerve bien trop vite, et parfois, ça lui ai arrivé de lever la main sur son épouse, de la pousser à bout, de lui mettre des bleus au visage, des lèvres en sang, c’est plus fort que lui, il n’arrive pas à se contrôler. Il n’arrive plus à tout gérer, il voudrait souffler cinq minutes mais il ne peut pas. Il n’a jamais appris à souffler, personne ne lui en a jamais laissé le temps. Il aime Roxane, encore plus Jane.  Il ne voulait pas de cette vie pour elles, mais Roxane est littéralement son sac de frappe, sa Catharsis, son exutoire. Et de toutes les manières que ça soit, rien n’est positif dans ce lâcher-prise.

Alors Roxane elle part avec Jane, et c’est là que Caleb s’effondre. Il devient encore plus violent, encore plus colérique, énervé, impulsif, il frappe le mec qui ne lui a pas laissé la priorité, il tabasse un client qui l’a regardé de travers, il écrase la tête sur le bitume d’un mec qui lui a refusé une clope. Et c’en est trop. Sa famille qui compte sur lui n’arrive plus à le reconnaitre, il est perdu, exténué, épuisé. Rien n’arrive par hasard. Il sait que tout est de sa faute et ça le ronge, cette culpabilité étouffante qui l’emporte dans ce tourbillon rouge. Il ne dort plus, il tient grâce à des excitants qui ne sont pas forcément légaux. C’est la descente aux Enfers, la chute brutale dans la réalité. Mais il continue à tout tenir à flots.

Et il croise le chemin de cette femme, cette espagnole qui le retrouve un jour sur un banc, la tête entre les jambes, tremblant d’épuisement. Elle le conduit chez elle, elle l’étreint, elle l’aide à souffler, le temps d’une journée. Elle est là, elle le porte. Sa fille lui manque, c’est tout ce qui compte. Il veut la voir, l’embrasser, la chérir, la voir rire. Voilà six mois qu’elles sont partis, et Caleb n’arrive pas à faire le deuil. Légalement, il est le père de cette princesse. Il l’aime tant… Et cette femme dont il ne connait pas le prénom va l’aider, elle va le revoir plusieurs fois par semaine, va le porter, le laisser souffler dans le creux de ses reins et de ses bras, l’aidant à arrêter toute forme de drogue, lui apprenant le contrôle sur lui, lui faisant oublier ses vieux travers tordus. Elle a eu du mal, l’espagnole, mais elle a réussi à lui faire réaliser un rêve de gosse et un rêve de père : il allait intégrer Harvard et récupérer sa fille. Quoiqu’il lui en coûte.

admission harvard : TON ADMISSION À HARVARD Caleb a bossé dur pendant des années pour atteindre ses objectifs. Vu le contexte familial défoncé qu’il avait, il a du se battre contre tous les diktats sociales afin d’entrer à Harvard. Il est un excellent élève, minutieux et déterminé. Il arrive à concilier vie sociale, vie professionnelle et vie familiale par une organisation de fer. Caleb n’a postulé que dans deux universités : une université lambda et Harvard. La première école l’a accepté et il a commencé sa scolarité à cet endroit. Quelques années plus tard, après des entretiens ratés, il finit par être accepté à Harvard, se donnant corps et âme pour leur prouver qu'il n'avait pas fait le mauvais choix. Chaque jour durant, il essaie de faire le maximum pour prouver à ses professeurs qu’il peut tout mener de front, mais il est à deux doigt de craquer, trop de poids sur les épaules tout en gardant le sourire le plus sincère qu’il puisse offrir. </blockquote>
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MessageSujet: Re: Logan Cox   Logan Cox EmptyVen 18 Oct - 9:21

Code:
<center><div class="fondfiche"><center><table><tr><td><center><div style="height:80px;width:290px;"><div class="surnom">L.</div><div class="citation">« if i risk it all, could you break my fall ? »</div>
<span class="citationauteur">- sam smith. </span></center></div><div class="fondinfo"><div class="containerprofil">
<champ>Nom(s):</champ> [b]cox.[/b] la sublime et richissime famille cox. l'une des dix plus fortunés familles d'europe, et sûrement l'une des plus influentes.
<champ>Prénom(s):</champ> [b]logan james.[/b] sa mère n’a pas voulu lui donné le prénom de tous les hommes de la famille, james. c’est le seul de la lignée des cox (oncles, neveux, frères, grand-père, père) à ne pas s’appeler james. ils gardèrent malgré tout le prénom central james en mémoire à ce prénom qui a porté toutes les générations cox.
<champ>Date de naissance:</champ> 19/04/1991.
<champ>Nationalité:</champ> [b]américaine[/b], comme son père avant lui, et son père avant lui. vous suivez ?  
<champ>Origine:</champ> [b]américaine[/b], toujours. pure et dure.
<hr><champ>Statut financier:</champ> [b]multi-milliardaire[/b], ça suffit non ?
<champ>Diplôme(s):</champ> diplômé d'[b]harvard[/b], grassement payé par la famille.
<champ>Emploi(s):</champ> [b]héritier [/b]de la cox entreprises, inc.
<hr><champ>Orientation sexuelle:</champ> [b]hétérosexuel[/b], jusqu'à preuve du contraire.
<champ>État civil:</champ> [b]célibataire[/b], aucun projet de bien plus intéressant.
<champ>Enfant(s):</champ> [b]aucun[/b]. sera obligé d'en faire pour perpétuer le nom et l'entreprise.
<hr><champ>Aspiration:</champ> absolument [b]tout [/b]posséder.
<champ>Meilleure qualité:</champ> [b]ambitieux[/b].
<champ>Pire défaut:</champ> [b]folie[/b].
<champ>Plus gros secret:</champ> juste un seul ? tant [b]mieux[/b]. il se rend anonymement dans les back-rooms de boîte gay pour s'faire démonter.
</div></div></td><td><img class="avatarfiche" src="https://images2.imgbox.com/09/45/Z44HQMd2_o.gif"></td></tr></table></center></div>
<div class="fondfiche"><center><div class="fondanecdotes"><img src="https://media1.tenor.com/images/af80d6e5016511e3fd3300769fb98c65/tenor.gif?itemid=5657186" class="imagefiche" height="100"><champ>(1.)</champ> le dernier après deux sœurs, katharine et blair, il était attendu comme le messi. un combat long et difficile pour obtenir le garçon qu’ils rêvaient d’avoir, les voilà servi avec le plus beau des nourrissons. trop choyé sûrement par un père presque amoureux de son fils, pour enfin avoir un héritier à sa fortune et une mère trop violente, ne supportant pas les dérapages de son mari sur son enfant, qu’elle considère presque comme une infidélité sans remarquer l’inceste. logan grandit dans la soumission totale de son paternel et l’apprentissage des us et coutumes de la vie d’abondance qu’il allait mener. ses sœurs sont les femmes les plus importantes de sa vie, il ne voit qu’à travers elle, mais logan senior, lui, ne voit qu’à travers son héritier, celui qui va lui rapporter de l’argent. ses filles passent après, en dépit de l’amour que le petit garçon porte à sa fratrie.  <champ>(2.)</champ> à l’adolescence, logan montre des signes de violence particulière, de haine et de colère qu’aucun psychiatre n’arrive à canaliser. personne ne comprend les comportements destructeurs de cet adolescent qui autrefois était un garçon au rire ravageur. il enchaine les filles comme on change de sous-vêtement, il se fout de l’image qu’il rend, il a besoin de décharger, et ça lui arrive même d’être violent entre ces filles, qui n’osent pas porter plainte ou l’atteindre, vu le nom qu’il porte. entre alcool, drogues, clopes, sexe et argent, il est complètement à la merci de sa décadence qu’il oublie de rattacher à son nom et qu’il salit sans vergogne, sûrement une forme de rébellion contre son paternel qu’il exècre plus que tout, mais à qui il n’a pas le droit de dire non. il subit toujours ces sévices sexuels de sa part, mais ferme sa gueule, pleure en silence et ne le montre pas. une honte qu’il dissimulera jusque dans sa tombe. puis un jour, avec le black circle, il commet l’irréparable, le geste de trop, celui qui fait perdre toute humanité jusqu’au fin fond des tripes. il en rit, de cette jeune fille qu’ils ont secoué un peu trop fort, qui était payé par le paternel de N., l’héritier rothschild. elle a pris des produits que le black circle a décidé de lui donner, ils ont vidé leur couille, en l’insultant de tous les noms, le meilleur gang bang de sa vie, et logan, dans tout ça, il était d’une violence inouïe. les coups, les gifles, les cris. jusqu’à ce que dans un accès de rage, elle perde connaissance. et son cœur lâche, à la pauvre gamine. ils avaient dix-sept ans. et leurs noms pour les couvrir.  <champ>(3.)</champ> puis un peu plus tard, quand il eut dix-huit ans, peut-être dix-neuf ans, il fut attiré par le fossé. dans cette boîte de nuit, il y a repéré un échappatoire, quelque chose d’humiliant, un moyen de transformer la honte que son père lui avait infligé jusqu’à il y a peu en plaisir, peut-être en espérant désacraliser l’acte. et c’est dans les chambres arrières de ces boîtes de nuit, sous un faux nom, qu’il prend plaisir à se faire baiser, à hurler, à embrasser des hommes, à les toucher, à les sucer, jamais dominant, toujours dominé, il est terrifié d’être son père alors il préfère subir plutôt que faire subir. mais cette partie-là de lui, ce vice permanent qui s’ancre dans ses veines et qui perdure dans le temps, personne ne le sait. ou alors bien trop peu de personne, mais ce secret, c’est l’un des pires. même cette fille dont il a oublié le prénom et qui est peut-être morte, ou interné, il n’en sait rien, n’est rien à côté de son homosexualité refoulé. pour lui, c’est une maladie, un truc que lui a refoulé son père en le prenant tous les soirs pendant plus de dix ans. il hait la communauté LGBTQ, il hait les voir se pavaner pour une pathologique qui peut se soigner. il crache sur ces hommes qui assument aimer le même sexe. il les hait tous. <champ>(4.)</champ> the black circle. des amis de longue date, ils se connaissent, s’entraident, se haïssent parfois, se crachent dessus, se mettent en couple, se séparent. ils sont peu, une dizaine tout au plus, se connaissent depuis le berceau, sont les enfants des personnes les plus influentes de la terre, connaissent les secrets les plus profonds les uns des autres. il n’y a rien qui peuvent les ébranler, sauf l’autre. ils étaient ensemble, lorsque cette fille est morte. ou ailleurs. ils se couvrent, c’était le père de nathaniel qui l’avait embauché, et plus personne n’en parlait, c’était le sujet le plus tabou du cercle. comme s’ils avaient occulté les atrocités de ce qu’ils avaient fait. mais malgré tout, ils s’adorent, s’aiment profondément les uns les autres, se protègent pour toujours et à jamais. la passion qui les animent, c’est ce qui les rend forts et puissants, ils méprisent le monde et le rabaissent, surement par jalousie d’un libre arbitre qui leur appartient, à ce monde populaire et bien plus pauvre en argent, mais plus riche en bonheur. <champ>(5.)</champ> ce sauvage. un seul homme, celui qui l’a fait flancher et qui l’a rendu dingue. il l’a rencontré lors d’une soirée arc-en-ciel du joïa, une boite de nuit gay du bronx, ce quartier pourri qui rencontre les plus bas-fonds de la ville. et il voit ce gars, avec un peu trop de tatouage, un regard méchant, et logan, il trouve un certain charme, une tendresse, quelque chose de fort et d’étranger malgré tout. il s’approche et l’autre grogne, mais ils s’apprivoisent, se parlent, s’apaisent. il y a du secret là-dedans, quelque chose d’interdit qui les poussent à se confier, et putain, c’est là que logan fait le faux pas. il tombe amoureux d’un mec qui fait partie des wild indians, ce gang de brute tout droit sorti d’un vieux film américain. il ne supporte pas d’être associé à eux à travers ce mec, mais il a tellement d’amour à lui donner qu’il se ferait tatouer sur tout le corps s’il lui demandait. alors il se donne sans compter, il passe des heures à rire avec lui, à faire l’amour avec lui, à perdre la tête avec lui. il s’imagine même fuir avec lui pour rejoindre un monde différent dans lequel il ne sera plus obligé de porter ce nom de famille qui pèse lourd, d’être lui-même, de ne pas être cette bête de foire qu’il est devenu en ayant des relations sexuelles avec des hommes. écœurant. puis un jour, ce gars-là, il s’est volatilisé, il a disparu, il s’est caché des radars de logan, et ce dernier il s’est rendu fou pour le retrouver, mais il n’était plus là. il n’y avait rien, plus rien qui le retenait, il pétait un plomb, il n’avait que vingt-ans, logan, c’était un gamin amoureux d’un homme, d’un vrai. puis un jour, il entre dans le bureau logan sr, et il fouille ses affaires pour trouver des réponses à ses nombreuses questions. et il voit son nom apparaitre dans le chéquier. cinq cent mille dollars. une somme magnifique pour un pauvre. l’argent de poche de logan au quotidien. son père l’avait payé pour disparaitre de sa vie à tout jamais, et il s’était enragé contre son père qui lui avait mit une raclée si monstrueuse qu’il s’était retrouvé avec le visage défoncé. obligé d’accuser une bande de voyou de rue pour ne pas mettre à mal la cox entreprises. après ça, logan ne s’est pas rangé, il a continué en douce ses sorties à la joïa, il a continué à aimer les hommes dans la plus grande bestialité dont il faisait preuve, à sortir avec des femmes pour qu’elles fassent jolies à son bras et lui donner une image de dom juan. mais aucun Homme n’était obligé de survivre à ce que son père lui avait enseigné.  <champ>(6.)</champ> ses sœurs, ses vies. elles sont au nombre de deux, katharine et blair, elles sont belles, fabuleuses, elles ont leurs vices et leurs déboires, mais logan, il s’en fout, il les aime tellement qu’il serait capable du pire pour qu’elles vivent heureuses. alors quand il surprend le mari de blair dans les back-rooms de la joïa, il se surprend à vouloir se le taper. il est tordu logan, il voit clair dans le jeu de son beau-frère, alors dans la pénombre, il s’fait passer pour quelqu’un d’autre et se laisse baiser par l’homme qui couche avec sa sœur le soir. plusieurs soirs de suite, même, il y a ce rituel où cet homme ne sait pas avec qui il couche, et logan qui prend un plaisir monstre dans cet acte de trahison pur et dur. puis ce qu’il se passe, c’est qu’un jour, par hasard, le mari de blair est retrouvé mort au fond d’une ruelle, une aiguille dans le bras qui ne lui appartient pas, mais ça, logan, il ne le laisse pas transparaitre. il veut juste montrer à sa sœur que son mari était un homme mauvais, quelqu’un de drogué, qui préférait les poubelles aux paillettes et qu’elle ne le méritait pas. alors blair elle pleure sur l’épaule de logan, qui garde tout pour lui, qui ne montre pas ce qu’il s’est passé, ni même l’argent sale qu’il a donné à ces mercenaires pour faire disparaître de manière commune un homme qui lui avait bien confié, un soir de plus dans la boîte, qu’il n’était qu’avec cette femme pour l’argent que lui rapportait son nom. débarrassé à jamais de la vermine. <champ>(7.)</champ> il voulait vivre comme on meurt, logan. il était friand des réseaux sociaux, montrant son argent, sa richesse, la crachant à la gueule de ces pauvres qu’il méprise. peut-être qu’on pourrait le considérer comme un connard, un homme hautain et imbu de sa personne, mais c’est sa seule carapace. c’est l’gars typique logan où quand tu creuses, tu trouves quelque chose d’intéressant, un mec qui a des valeurs, mais qui n’a pas su exploiter ses cartes convenablement, qui a oublié parfois ce que c’était que d’être humain, parce qu’il n’avait connu que la violence d’un père qui trouvait ça normal d’être aussi tordu. il n’y avait aucune justification à offrir à ses actions, pas même une excuse, mais c’était parfois… compréhensible ? il n’était pas l’homme le plus bon, le plus juste ou le plus droit, il était parfois trop abrupt, peut-être même violent dans sa folie destructrice, il aimait le chaos et la tempête, on pouvait lui rire au nez parce qu’il avait grandi avec une cuillère en argent dans le cul, mais c’était pas la cuillère qui l’avait rendu comme ça. c’était son paternel, profondément persuadé que ce qu’il faisait, c’était par amour profond pour sa progéniture. alors pendant plusieurs années, entre ses vingt et un ans et vingt-six ans, il a cru trouver ça normal de continuer ses vices homosexuels tout en couchant avec des femmes dont il détestait la senteur et le plaisir pour se flageller des actes d’immondices qu’il commettait le soir, dans la pénombre d’un homme plus fort que lui. le black circle, comme à d’habitude à ses côtés. il n’en était pas le roi de son royaume, ils étaient tous à armes égales, chacune des têtes pensantes, mais chacun se méfiant les uns des autres. à la moindre chute, quelqu’un venait vous arracher votre armure. <champ>(8.)</champ> elle avait oublié, elle, qu’elle était devenue folle à cause de leurs conneries. le visage de logan faisait partie d’un décor qu’elle ne connaissait pas, et ceux des autres aussi. elle sortait à peine de son asile, de sa folie. quand il voyait que des chèques à son nom sortait vers un hôpital pour demeurés, il avait demandé des comptes à son père qui lui avait appris qu’elle n’était pas morte. elle était bien en vie, détruite, complètement, cette petite. alors par acquis de conscience, ou profond regret, il ne le savait même pas lui-même, logan se mit à lui rendre visite. au début une fois par semaine, puis un peu plus, puis quatre fois par semaine. elle était une bouffée d’oxygène dans ce monde de requin dans lequel il vivait, et elle le voyait comme un sauveur de son ennui. elle était aussi secrète que tout ce qu’il pouvait cacher. bien sûr qu’il ne lui a jamais dit qui il était, ni même son statut social. elle posait pas de question, elle, trop obnubilée par son charisme et sa douceur à son égard. mais un jour, elle est sortie de l’hôpital, pour rejoindre son foyer. elle était de la rue, peut-être d’un réseau de prostitution, il ne s’était pas rendu compte à quel point il avait été immonde, plus jeune. il venait d’avoir vingt-sept ans quand elle lui envoya un message sur NYC. elle était en vie, heureuse, elle reprenait goût à la vie, et le remerciait. et il avait tellement honte. certains membres du cercle n’avaient pas eu de remords, d’autres avaient parfois accompagné logan, parfois il en avait accompagné aussi. mais elle était si proche de créer le plus grande désastre de la jeunesse dorée si ses souvenirs refaisaient surface que logan continuer à maintenir cette relation. parce que si ce n’était pas physique, il était en train de tomber amoureux d’elle. et ça, il ne pouvait pas se le pardonner. <champ>(9.)</champ> depuis petit, il dort peu. il n’arrive jamais à trouver le sommeil alors il se pose dehors et regarde les étoiles, et se prend de passion pour l’astronomie. cet univers en expansion qui lui offre la possibilité d’être un autre homme, de mourir parmi les étoiles en s’approchant de la lune. il se dit qu’avec son fric, il est possible qu’il se paie un aller-retour le jour où l’homme trouvera la solution d’atteindre le cosmos. il aimerait se faire tatouer un paysage, mais il n’a pas le droit de défoncer son corps à coup d’aiguilles d’artiste, ça entacherait l’image de la parfaite société cox entreprises. alors il prend sur lui, regarde ce monde vaste et s’y perd. il rêve aussi des fonds marins. il est thalassophobe logan, mais ça ne l’empêche pas d’être fasciné par les deux extrémités. les deux entités les plus vastes au monde, l’univers et l’océan, le haut et le bas, du bout du monde à l’autre rive. alors la nuit, il se balade. non sans un chien de garde qui le suit en voiture, pour sa protection, il portait quand même le nom de cox. mais il était souvent dehors quand les gens passaient leur temps à rêver ensommeillé. lui, il rêvait éveillé. <champ>(10.)</champ> au final, tout au fond de lui, logan, c’est un bon gars. il a juste pris de mauvaises décisions, à cause de mauvaises actions qui pèsent sur lui depuis tant d’année. c’est une éducation trop stricte par sa mère, à inculquer que la femme est plus faible que l’homme, que l’homosexualité était un pêché, que l’entreprise devait être le moteur de sa vie, que les gens pauvres sont la misère de ce monde, par un père qui aimait tellement son fils d’un amour fusionnel qu’il préférait [i]l’enculer[/i] tous les soirs plutôt que rester propre. et le terme, c’est bien celui là. il est violent ce mot, peut-être trop, mais il est réaliste car il porte en lui toute la crasse et le dégoût que logan avait envers son géniteur. il menait une vie de prince d’un royaume dont il ne voulait pas être le roi, mais il était loin de cracher sur l’argent de rentier dont il disposait constamment sur son compte. une part de lui avait conscience que s’il ne faisait pas le nécessaire, des millions d’emploi se perdraient et que des familles comptaient sur lui pour maintenir ce géant du média qu’était cox entreprises. il avait parfois envie de lâcher prise et d’être un jeune homme normal, de ne pas haïr la classe pauvre, de ne pas exécrer la communauté gay, mais c’était tout ce qu’il connaissait, rien de plus, rien de moins. </div></center></div>
<div class="fondfiche"><center><div class="citation"><b>Dane Dehaan</b> est joué par:</div><div class="surnom">Elladora Tonks</div><div class="fondanecdotes"><champ>Prénom:</champ> anaïs <champ>Âge:</champ> 25 ans <champ>Pays:</champ> francia, bouche du rhone <champ>Multicompte:</champ> daniel baker  <champ>Présence:</champ> 7/7 <champ>Comment t'as connu le forum:</champ> marie aka olive le love  <champ>Tes attentes envers DS:</champ> du dramaaaaaaa <champ>Commentaire:</champ> :hanwi:</div></center></div></center>

[spoiler="M'AJOUTER AU BOTTIN D'AVATAR"]
[code]<pris>Dane Dehaan</pris> <a href="URLDUPROFIL" class="pbottin">Logan M. Cox</a>[/code]
[/spoiler]

[spoiler="M'AJOUTER AU RÉPERTOIRE DES PERSONNAGES"]
[code]<a href="LIEN DE TON PROFIL">
<div class="grid-item masculin 20s hetero manhattan inclassable">
<div class="name">Pseudo</div>
<img src="IMGAVATAR">
<div class="info">  
<div class="avatar">ft. Dane Dehaan</div>27 ans • hétérosexuel • héritier, à new-york • loft à manhattan
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